Alouette, gentille Alouette,
Alouette, je te plumerai.
Je te plumerai la tête,
Je te plumerai la tête,
Et la tête, et la tête,
Alouette, Alouette, Aaaah… Continuer la lecture
Alouette, gentille Alouette,
Alouette, je te plumerai.
Je te plumerai la tête,
Je te plumerai la tête,
Et la tête, et la tête,
Alouette, Alouette, Aaaah… Continuer la lecture
Dansons la capucine,
Y’a pas de pain chez nous,
y’en a chez la voisine,
mais ce n’est pas pour nous,
PIOU !
Doucement s'en va le jour
Doucement, doucement
Doucement s'en va le jour
Doucement, doucement
À pas de velours
La rainette dit
Sa chanson de nuit
Et le lièvre fuit
Sans un bruit (suite…)
Voici ce que l’on peut faire pour égayer nos balcons ou nos intérieurs pour Halloween : des photophores en forme de citrouille.
– Découper le haut de la citrouille ou du potimarron comme si c’était un chapeau.
– Creuser l’intérieur de la citrouille pour enlever toute la chair, mais laissez-en suffisamment (environ 1,5 cm d’épaisseur) pour plus de solidité.
– Dessiner des yeux et une bouche sur la citrouille. Creuser ensuite avec un couteau ou cutter la peau de la citrouille en suivant ces dessins.
– Badigeonner avec une éponge imbibée d’eau de javel l’intérieur de la citrouille et de son chapeau afin d’éviter que des moisissures se forment trop rapidement.
– Laisser sécher à l’air libre une journée.
– Une fois l’intérieur sec, vous pouvez le saupoudrer d’une épice de votre choix (la cannelle par exemple) pour qu’une fois ce photophore allumé, cela dégage une odeur agréable.
Novembre arrive, le froid de la Toussaint commence à nous faire percevoir l’hiver qui ne va pas tarder mais heureusement les enfants sont là pour égayer un peu cette période un peu triste, avec Halloween, une fête originaire des îles anglo-celtes (Grande-Bretagne et Irlande). Continuer la lecture
A l’occasion du 25ème anniversaire de la Convention internationale des droits de l’enfant, la secrétaire d’État à la Famille, Laurence Rossignol, a fait le déplacement à New-York pour ratifier au nom de la France le 3ème protocole, qui autorise un enfant à saisir directement le Comité des droits de l’enfant de l’ONU.
Cette ratification représente, selon les propos de la secrétaire d’État du 18-11-14, une rupture : « C’est un message fort envoyé à l’ordre judiciaire et à toute la société. il remet l’enfant à sa place, le considère comme un sujet de droit, restitue sa parole. […]
L’enjeu aujourd’hui est donc bien de positionner les droits de l’enfant à la hauteur des droits de l’Homme. »
Profitant de l’opportunité de cet anniversaire, Laurence Rossignol a appelé à « une prise de conscience collective » de la société française concernant les punitions corporelles envers les enfants, et souhaite que la société civile se saisisse du sujet avant de légiférer.
« Le Code civil prévoit déjà que les violences interpersonnelles sont proscrites. Il y a une dérogation pour l’exception éducative.
Il faut simplement faire disparaître cette exception éducative des habitudes et des certitudes des parents. […] On reste bien souvent impassible devant les gestes de violences commis à l’égard d’un enfant.
Par cette apathie, on considère que l’enfant est un objet, un sujet non pas de droit, mais de propriété. » a-t-elle affirmé.
Comme les atteintes aux droits des femmes ont été combattues, Laurence Rossignol estime que les violences faites aux enfants sont tout aussi inacceptables car « la violence sur les enfants c’est la dernière violence légale qui s’exerce […].
On intervient lorsqu’on est témoin de violences sur un adulte, ou même sur un chien. On reste souvent impassible devant les gestes de violences commis à l’égard d’un enfant.
Les conséquences c’est un manque de confiance, d’estime de soi qui suivra l’enfant pendant son adolescence et à l’âge adulte.
Les conséquences c’est aussi un risque de reproduction sociale plus important.
» La secrétaire d’État chargée de la Famille veut donc faire évoluer les mentalités en douceur. Un colloque sera organisé en février à cette fin.
Source : JDPPetite Enfance, janvier/février 2015, N°92.
Une étude américaine a révélé qu’une anomalie cérébrale pourrait être, dans certains cas, responsable de la mort subite du nourrisson (MIN).
Selon les auteurs de l’étude, près de 43 % des nourrissons étudiés, victimes de mort inattendue, présentaient une anomalie du cerveau dans la région de l’hippocampe. Continuer la lecture