« Un enfant c’est plus compliqué qu’une plante verte », les caprices.

Dans cet article, je vais vous faire part d’un extrait de « J’ai tout essayé » de Isabelle Filliozat*. Déjà, le titre du 1er chapitre (« Un enfant c’est plus compliqué qu’une plante verte ») m’a donné envie d’en lire un peu plus… et encore plus quand je vois dans les gros titres le mot « CAPRICE« … le fameux caprice qui nous agace, nous parent ou professionnel…

Cet ouvrage m’a beaucoup interpellée en tant que maman, moi qui suis beaucoup moins patiente dans ma vie privée que dans ma vie professionnelle (J’y travaille, j’y travaille… 🙄 ).

Caprices ?

Une des pages qui m’a notamment interpellée est celle qui aborde les CAPRICES.
Moi qui déteste ce mot et qui reste persuadée que ces fameux « caprices » sont avant tout une réponse inadaptée, difficile à contrôler par l’enfant, cette auteure va plus loin en disant que ce « sont en réalité des réponses du cerveau de l’enfant à des situations trop complexes ».

Ces apparents caprices manifestent les besoins de l’enfant : carence ou excès.

Un exemple très bien illustré va surement nous parler à tous, adultes.

ou encore…

Que se passe-t-il ?

 » Quand les besoins de contact de l’enfant ne sont pas suffisamment remplis, ses circuits cérébraux sont en manque.

Crises de rage, de pleurs pour un rien, comportements excessifs sont autant de manifestations de détresse du système nerveux.

Échanger des « je t’aime », faire un câlin ou jouer ensemble, charge l’organisme d’ocytocine, l’hormone du bonheur. L’enfant se sent plein, heureux, rassasié.

 

 

 

A venir sur le blog, issu du même ouvrage : crises de rages et autres tempêtes émotionnelles…


Isabelle Filliozat
*, psychologue et auteure de nombreux ouvrages mettant en avant la bienveillance, l’écoute des émotions et la psychologie positive…

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